En supervision collective, François nous présente le cas d’une entreprise familiale de 70 personnes. Depuis le début de l’année, l’entreprise a changé de mains et deux personnes, mari et femme en l’occurrence, se partagent désormais une bonne partie du leadership : Serge s’occupe du commercial et de l’opérationnel tandis qu’Isabelle gère l’administration et les finances. A « ses heures perdues », Isabelle est aussi assistante de Serge.
Pourquoi une bonne partie et pas la totalité du leadership ? Si je me réfère à Berne et à la Tob, on peut classer les leaders en deux catégories : les leaders actuellement vivants et les leaders historiques (dont l’influence est parfois plus grande que les leaders actuels…). Lire la suite