Ce test mérite examen!

L’autre matin, parfaitement détendu et plein d’envie et d’optimisme, je me suis décidé à faire le test de Maslach, ce fameux MBI dont je vous ai déjà parlé ici.

En professionnel responsable, j’ai donc complété moi-même ce questionnaire avant de vous le proposer. Attentivement, paisiblement, sans me presser. Jusqu’ici, chaque fois que j’y pensais, je me disais que ce n’était pas nécessaire de le remplir puisque mon temps de burn out était derrière moi. Or, en faisant le test, j’ai compris qu’il n’est pas destiné aux personnes en burn out.

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Mmmm… j’hésite…

Je l’ai découvert au hasard d’une recherche sur Internet. Et ça m’a tout de suite branché. « Génial, c’est ce que je recherche depuis si longtemps ». Je l’ai immédiatement téléchargé dans ma bibliothèque.

Ma découverte ? Un test de prévention sur le burn out, rien de moins !

Le burn out, un sujet brûlant!

Je vous recommande le livre de Pascal Chabot « Global burn out« , publié par le PUF.

Trouvé sur amazon.fr, le commentaire d’un lecteur m’interpelle :

« Ça explique bien la provenance du mot et du mal. Pas assez comment aborder l’état et tenter de le vaincre. Ne cherchez pas dans ce livre un remède à vos maux. »

Pourquoi ce commentaire est-il bienvenu et acceptable ? Plus j’en parle avec des professionnels – la dernière fois, c’était avec Isabelle – plus je constate que c’est un sujet vraiment touchy.

Qui es-tu Marie-Jeanne?

Cette chanson de Maurane m’a scotché aujourd’hui. Sa voix est grave, profonde, chaude et je me sens envouté en l’écoutant. Je l’écoute en silence, je laisse résonner en moi cette sensation de tristesse, d’urgence, de révolte, et d’empathie.

J’avais envie de la partager avec vous. Ecoutez-la, si vous êtes dans cette énergie…

J’ai laissé résonner longtemps cette chanson, en me demandant pourquoi elle me touchait à ce point.

La recherche en quête d’un nouveau regard

Dans le dernier numéro de « Ca m’intéresse », un titre a retenu toute mon attention: « Les chercheurs croient qu’ils connaissent déjà la vérité ». Dans l’article, l’auteur, un chercheur, s’en prend aux dogmes inhérents au domaine de la recherche et qui pourtant limitent les possibilités de découverte. Il en appelle à la communauté scientifique pour changer son regard et ouvrir de nouveaux champs.

Au fond, c’est très « coach attitude » : ne pas agir avec des intentions, des fixations et ouvrir ! A la base, c’est un constat (ajusté ou non), un appel, une invitation. Cela parle de croyances limitantes, d’échelle d’inférence et du champ des possibles comme dans l’article précédent que vous avez sans doute Lu (désolé, je ne résiste jamais à un jeu de mots, fut-il facile). 

Métaphores agricoles…

Je prenais dernièrement mon petit déjeuner avec, trônant sur la table, une boîte de cracottes. Ça craque, ça croque, hmmm, c’est bon ! Attiré par les couleurs de la boîte, je le retourne en tous sens et découvre l’adresse insolite du site de Lu : lulechampdespossibles.com.

Je souris amusé par le lien que fait la marque entre les cracottes, le blé nécessaire à leur fabrication et les champs où pousse ce dernier. Tout cela est finalement d’une logique implacable. C’est même assez malin même si ça n’en fait pas du bio…

Quel rapport ce blog ? Attendez, j’y viens : en coaching comme en logothérapie, je parle aussi du champ des possibles. C’est Laurent Buratti, dans son livre « Transformance », qui avait attiré mon attention sur cette pratique, qui était la mienne.