Dieu ne pouvait être partout, alors il a créé la mère.

Dites-moi si je me trompe mais il me semble que j’ai toujours exprimé sur ce blog la confiance indéfectible que j’ai tant dans la vie que dans l’être humain. Le regard que je porte reste celui de la confiance et de l’optimisme même si ce dernier peut parfois être tragique comme nous l’enseigne Viktor Frankl. 

Je veux célébrer aujourd’hui encore la force de la vie et de l’amour, quels que soient les événements qui peuvent nous éprouver.  Ce que le monde traverse actuellement est inédit. En 63 ans d’existence, c’est la première fois que je connais cela. Il y a pas de mots pour décrire la situation d’aujourd’hui. Toute tentative de débusquer un complot, des erreurs humaines, de la manipulation ou une prise d’otages planétaire à des fins économico-politiques me semble vaine. Et de toute façon, cela ne change rien à ce que je vis.

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Je pars en vacances, pas à la retraite!

Cet article est l’avant-dernier de cette année scolaire. La semaine prochaine, je vous dirai au revoir et prendrai congé de vous jusqu’au 20 août.

Dans l’intervalle, pendant ces 5 semaines, un autre espace se fera jour. Celui des vacances, une « retraite » temporaire de la vie professionnelle. Et pour clore l’année que nous venons de passer ensemble, je vous écrirai un mot du style : merci de votre confiance, de votre présence, de votre fidélité. Comme le chante Daniel Guichard, merci d’être là  vous qui me permettez d’exister dans ce rôle de blogueur, d’écrivain, de transmetteur. Ce mot, c’est une manière de fermer la boucle de l’année, de refermer cette gestalt, ce cycle d’un an.

Pourquoi être aussi long dans l’explication ?  Parce que je voulais vous parler du mot « retraite » que j’utilise ici à dessein. En effet, après avoir été fêté le 16 juin par Christine, Laurence, Cecile et quelques-uns d’entre vous, j’ai reçu quelques témoignages me félicitant pour ma retraite.