Je crois me souvenir d’Eric Berne affirmant que toute transformation majeure et essentielle (révolution ou une décision vitale) s’opère systématiquement dans les larmes et dans le sang. Si cela est vrai, quel dommage de devoir en passer par là ! En même temps…
Il y a quelques jours, suite à la chute de Belie lors de l’une de nos randonnées, nous étions dans les couloirs de l’hôpital pour qu’elle y reçoive les soins nécessaires.
Assis en face de nous, deux jeunes d’une vingtaine d’année attendaient également d’être pris en charge. Les pansements qui leur couvraient les genoux, les coudes et les poignets n’avaient aucune incidence sur le large sourire qui leur barrait le visage. Lire la suite