J’ai bien cherché à m’apaiser mais ça n’a pas marché. J’ai ensuite tenté de me cajoler. Sans plus de succès. Changeant de stratégie, j’ai essayé de me convaincre que ressentir de la colère était une chance. Cela non plus n’a pas suffi. J’étais toujours en colère et, au fond de moi, gêné de l’être.
En effet, comment était-ce possible alors que Belie et moi sirotions un délicieux café glacé sur une plage grecque à l’enseigne prometteuse de « Plage de la Liberté »?
Me revint alors à l’esprit un article du mensuel « Cerveau et Psycho » d’avril: « L’erreur forge le cerveau ». Mon corps se détendit aussitôt. J’avais trouvé. Je ressentais encore de la colère sans que je doive partir en croisade pour réparer quelque injustice. Lire la suite