André Gide a dit : « Choisir, c’est mourir un peu ». Formule certes un rien excessive mais qui n’est pas totalement dénuée de vérité.
Je l’ai encore vérifié l’autre jour, en formation, lors de la constitution des groupes de pairs. Choisir, être choisi, faire le bon choix, éviter les mauvais choix. Ne pas savoir (c’est du belge) ni connaître (c’est bilingue) le futur. Quelle guigne. Ça ne simplifie pas la vie !
Cela interroge la personne sur qui elle est, sur sa sécurité, sur son pouvoir, sur son influence… Bref, sur son scénario. Lire la suite