Quand débute une relation de coaching, la question du vouvoiement ou du tutoiement finit toujours par se poser.*
Si le sort, la situation ou la culture d’entreprise en décident souvent, cela reste néanmoins une question intéressante à se poser avec le client.
C’est au sein de son entreprise que je rencontre Isselin avec Armel, son manager de projet. Tous deux se tutoient tandis que nous nous vouvoyons. Ce jour-là, nous fixons le contrat de coaching et ses objectifs et nous posons quelques balises. En gros, il s’agit d’aider Isselin à se libérer, à s’ouvrir et à prendre la pleine puissance de ses capacités et compétences. « Ose » lui dit Armel. Lire la suite